Kimochi

Et que dire?
euh.. raaaaaaaaaaaaahhhhhhhh !!!!

Ras le bol!
Ras la casquette!
Ras la cafetière!
J'en ai marre! J'en peux plus! Je veux mettre des baffes!

Je ne suis toujours pas prête pour le permis.
J'ai eu un moment d'abattement et de découragement total. J'ai eu envie d'abandonner, de partir sans même récupérer mon dossier. Même de planter mon moniteur en plein sur la route et rentrer à pied.
A un moment, la voiture sans permis m'a même semblé être une excellente alternative.
L'autoroute est un véritable calvaire. J'ai la trouille. Ca peut paraître super stupide. Mais je ne peux pas m'empécher de me dire que un mauvais geste ou une mauvaise réaction et c'est fatal. Pour me garer, c'est toujours difficile, je n'arrive pas à me corriger. J'arrive à conduire en agglomération mais dès qu'un truc inattendu survient, c'est la grosse panique, je fais n'importe quoi et deviens dangereuse.
Et maintenant que je suis embarquée dans cette galère, je me dis que si j'arrête, j'aurais fait tout ça pour rien. J'y retourne la semaine prochaine pour deux longues et interminables heures. Je n'en vois pas le bout. Le moniteur me fait pas mal de reproches et ne me rassure pas vraiment même si il explique bien.
Il faut être courageux dans la vie, c'est pour ça que je continue. Mais l'envie n'est plus là du tout.

Je suis allée chez Monoprix, j'ai vu un produit qui m'intéressait mais je voulais des infos sur sa compo. 
Je me suis donc tournée vers la conseillère beauté la plus proche. 
Déjà, elle avait l'air très occupée sur son téléphone portable. Je me suis dit que ce n'était pas très sérieux mais bon, je lui pose quand même ma question. Elle me regarde, SOUPIRE, et sans me dire bonjour bien sur répond :"moi, c'est le rayon maquillage". Et hop, elle retourne à son téléphone portable.
J'ai trouvé ça honteux. 
Je tombe très rarement sur des personnes aimables dans les boutiques et j'en ai marre. C'est si compliqué que ça? 
Je suis bien placée pour savoir que lorsqu'on travaille au contact des gens, ce n'est pas facile tous les jours. Mais bon quand même... Quand on vous aborde gentiment, pourquoi être méprisant? 
C'est d'autant plus rageant quand on a l'impression que les gens qui ont un boulot ne le méritent pas toujours. 
La conscience professionnelle n'est plus ce qu'elle était. 

Je suis allée chez Match. 
Le papy devant moi a souhaité une bonne année au caissier. Et le caissier, 20 ans à tout casser, très ému (parce que à mon avis, on ne doit malheureusement pas le calculer des masses) a répondu "Oh vous savez moi monsieur, lundi je n'ai plus de travail."
Et voila, j'étais déprimée. 
Les fêtes de Noël m'avaient fait oublié la génération précaire. 


Demain, je reprends le taff. 
J'ai eu l'idée de me mettre à mon compte il y a quelques temps. Ce qui m'a décidé, c'était principalement le chômage. J'avais également la volonté de faire un métier que j'aime. Je me suis dit que créer son propre emploi avait du bon. Et puis, je connais des gens qui ont fait ce choix et ça leur réussit plutôt bien. 
J'en suis encore au tout début et je sais que la route est encore longue mais j'espère m'en sortir ainsi. 
Cela dit, j'ai deux projets pour cette semaine. On va dire que c'est un bon début! Je suis contente. 

En parallèle, j'aimerais trouver un petit job, histoire de m'assurer une petite sécurité tout en développant mon entreprise : ménage, fast-food, accueil... Maintenant que j'ai un but précis, je sais que je pourrais plus facilement bouffer de la vache enragée. 

Un matin à l’aube dans une cité de Bobigny, près d’un vieux tripot clandestin, est retrouvé le corps sans vie de Eponine Chaligny, femme du très influent Jean-Éric Chaligny, premier patron de France, au centre d’un climat social extrême qui secoue la France depuis quelques semaines. Ce matin-là deux mondes radicalement opposés vont alors se croiser : Ousmane Diakité, policier de la section financière de Bobigny et François Monge, capitaine de la fameuse police criminelle de Paris. Leur enquête va les emmener d’un côté à Paris et son syndicat patronal, de l’autre en banlieue de Bobigny et ses affaires clandestines. Tour à tour, de l’autre côté du périph.


Sans être un chef d'oeuvre du cinéma français, j'ai trouvé ce film plutôt marrant. La bande son est très funky et j'ai beaucoup aimé. Il y a des scènes d'action plutôt bien faites et au final c'est divertissant.
J'ai trouvé que le duo Omar Sy/Laurent Lafitte fonctionnait bien. Certes, c'est du déjà vu les deux flics qui doivent collaborer ensemble alors qu'ils n'ont rien en commun et que l'un ne supporte pas l'autre mais bon... ça se regarde.
J'aimerais voir Omar Sy dans un grand rôle et pas seulement dans le rôle du mec de banlieue.
Pour finir, je pense que ce film ne devrait pas être vu par des enfants bien que cela soit une comédie car il y a des scènes un peu olé olé.

Le matériel :


Vous aurez besoin de petits moules en silicone. Ce n'est pas obligatoire mais c'est bien plus pratique pour le démoulage. Il faut également du colorant alimentaire et des petites billes de couleur.


La recette :
90g de farine
60g de sucre
1/2 cuillère à café de levure chimique
1 oeuf

Le glaçage :
100g de beurre mou
150g de sucre glace
colorant alimentaire

Préparation :
Commencer par mélanger la farine, le sucre, la levure et l'oeuf.
Mettre la pâte dans les moules.Enfourner les gâteaux pendant 5 à 8 minutes. Une fois cuits, il faut bien attendre qu'ils refroidissent pour les démouler sans les abîmer.

Maintenant passons au glaçage :
Avec le batteur, mélanger le beurre jusqu'à ce qu'il ait la consistance d'une crème et ajouter le sucre puis le colorant alimentaire. Une petite pincée suffit. A vous de voir si l'intensité de la couleur vous plaît.
Quand le mélange est bien homogène, vous pouvez l'insérer dans la seringue.
Napper les petits gâteaux. Décorer de billes. C'est fini !


Remarques :
J'ai fait 19 cupcakes mangeables, sachant que j'ai loupé la première fournée!
Je trouve l'appareil très pratique et très facile d'utilisation.
Je n'ai pas de remarque sur la recette de la pâte à gâteau si ce n'est qu'il serait sans doute préférable de mettre moins de sucre.
Je vous conseille vivement les moules en silicone plutôt que les moules en papier du fait que le silicone est réutilisable et résistant.  
Attention quand vous remplissez les moules, il ne faut vraiment pas mettre beaucoup de pâte sinon cela déborde à la cuisson. J'ai mis une petite cuillère à café de pâte dans chaque moule.
Pour le glaçage, la notice préconisait de mettre 300g de sucre glace. Je trouve que 150g est largement suffisant.
Munissez-vous de sopalin pour protéger le plan de travail ou pour poser les ustensiles car le glaçage ça tâche, ça glisse et ce n'est pas très facile à manipuler, surtout pour recharger la seringue! lol

Le net est bourré de recettes, donc je pense que je vais retenter l'expérience! ^^

Ah, j'oubliais le plus important, une photo de mes cupcakes!



Ingrédients:
50g de farine
30g de sucre
1 cuillère à café de levure chimique 
lait 
1 jaune d'oeuf 
1 blanc d'oeuf 
100g de sucre glace
Quelques gouttes de jus de citron concentré

Préparation : 
Mélanger la farine le sucre, la levure et le jaune d'oeuf. Ajouter un peu de lait (peut-être 3 à 4 cuillère à soupe pour diluer le mélange et obtenir une pâte bien lisse)
Faîtes cuire vos cupcakes. 
Pour le glaçage, il faut mélanger au batteur le blanc d'oeuf, le sucre glace et quelques gouttes de jus de citron concentré jusqu'à ce que le mélange devienne bien lisse. 
Napper les cupcakes une fois que ceux-ci sont bien refroidis. Et attendre un peu que le glaçage sèche avant de déguster!